Un coussinet de moteur doit impérativement posséder une caractéristique pour être efficace : il faut que les matériel qui le constitue soit compatible avec les matériaux de la pièce en mouvement.

Pour être compatible, le coussinet ne doit pas être fait dans le même matériel que la pièce en mouvement.

Ensuite, un coussinet pour moteur doit pouvoir supporter les pressions et les vitesses de frottement élevées. Il faut donc, durant ces calculs, s’assurée que la pression spécifique n’excède pas les valeurs qui correspondent au contact direct entre le coussinet moteur et l’axe.

De cette manière, il y a un frottement, dit « humide » durant des conditions normales. C'est-à-dire, qu’il y aura un fin film d’huile entre le coussinet et l’arbre. Si le frottement est plus actif, alors, au maximum, il existera un frottement dit « mixte », c'est-à-dire, en partie direct d’une pièce et en partie indirect.

Le revêtement du coussinet

Le revêtement d’un coussinet du moteur doit, absolument, être homogène. Si ce n’est pas le cas, il serait facile, lors d’un frottement, que le coussinet moteur soit endommagé par des impuretés solides qui auraient été entraînée par l’huile.

L’usure de coussinet pour moteur peut être remarquée rapidement. Un signe évident se trouve dans la baisse de pression au niveau du circuit de lubrification. C’est une chute de pression causée par l’huile qui s’échappe entre le coussinet moteur et l’arbre. Cet état pouvant se voir grâce par le nanomètre ou la lampe témoin. Bien évidemment, cette baisse de pression peut, aussi, stopper les conduits de lubrification du coussinet, ce qui augmentera la pression du circuit.